Modèle Évolutionniste de la Physique Analytique
Résumé :
La physique a connu le siècle dernier deux grandes avancées majeures, jetant les fondations de deux théories demeurant jusqu'à ce jour inconciliables : la relativité générale (RG) qui décrit les événements physiques à l'échelle macroscopique mais achoppe sur l'échelle de l'infiniment petit. Et la mécanique quantique (MQ), qui décrit avec une très grande précision les événements se déroulant à l'échelle de l'infiniment petit, mais qui conduit à des étrangetés contrariant le sens commun et l'intuition à l'échelle macroscopique.
Depuis Isaac Newton et sa théorie sur la gravitation universelle, l'énigme de l'attraction à distance entre objets demeurait insoluble. Cela perdura jusqu'à ce que les mathématiques arrivent à maturité, et que le jeune Einstein élabore la théorie de la relativité et intègre en physique théorique les notions de tenseurs de courbure et de distorsions spatio-temporelles. Néanmoins, la relativité générale demeurait non réfutable -à sa limite- et conduisait à une singularité primordiale détruisant la théorie à sa frontière. Les recherches sur la mécanique de l'infiniment petit visant à élucider l'origine du big bang allaient très rapidement conduire à une théorie concurrente, donnant naissance à la physique quantique décrivant l'infiniment petit. Or, les deux théories, qui ne sont encore à ce jour jamais pris en défaut, demeurent incompatibles : l'une est déterministe, locale, réaliste, la seconde acausale, et non locale.
De nombreux chercheurs tentent depuis lors de concilier ces deux théories soeurs en une théorie plus étendue, qui décrirait tant l'infiniment petit que le macroscopique, sans succès jusqu'à ce jour.
La complexité de la RG et du modèle standard permettant des réajustements des formules à chaque mesure ou observation sortant des limites de leurs prédictions à attiré notre attention sur l'hypothèse d'un risque d'antériorité du paradigme. En effet, chaque expérience étant orientée dans le contexte du paradigme des théories éprouvées, se pourrait-il que nous soyons sur une piste nous condamnant à tourner en rond ?
Dans ce papier, nous allons approcher le sujet d'un manière volontairement simplificatrice et explorer une piste inédite originale qui permettrait d'unifier la RG et la MQ dans un modèle de Relativité Quantique.
Dans un premier temps nous allons présenter notre modèle. Ensuite, nous allons confronter, au gré de nos développements, celui-ci aux points obscurs de la physique théorique tels que les étrangetés de la MQ (dualité onde-corpuscule, non localité, effet tunnel, ...), les ambiguïtés conceptuelles de la RG (courbure de l'espace, distorsion spatio-temporelle, singularité primordiale, ...), et des zones d'ombres demeurant en chantier dans le cadre plus général du modèle standard (matière sombre, énergie noire, accélération de la vitesse d'expansion de l'univers, absence apparente de l'antimatière, énigme de l'énergie du vide, microgravité, effet Casimir...) et encore d'autres points demeurant non élucidés à ce jour.
I. Présentation de notre modèle :
I.1. Notre modèle se fonde sur la conjecture suivante : toute la physique est le produit d'une infinité de quanta unidimensionnels, des segments de droites de taille canonique infiniment plus petite qu'une longueur de Planck. Ces quanta surgissent à la limite du big bang, voyagent sous forme de flux continu, par simple inertie, et interagissent les uns avec les autres en coordonnant leurs mouvements en se touchant de proche en proche dans un environnement dont la saturation en quanta subit une baisse progressive. Les quanta synchronisent leurs mouvements et constituent la trame de fond, et la base de la topologie de l'Univers. Le degré de liberté des quanta unidimensionnels confinés dans un environnement qu'ils saturent, permet une transition entre espace continu et espace discret.
I.2. C'est la limite géométrique de la liberté de mouvement qui permet la transition entre un espace continu et un espace discret. Les propriétés physiques comme la position, la vitesse ou la densité d'énergie sont quantifiables de par la délimitation géométrique des mouvements ou suivant les configurations des quanta. La construction de n'importe quel type d'espace multi-connexe devient permise à partir des propriétés inertielles des quanta qui garantissent une synchronisation obéissant à la loi des fractales.
I.3. Au gré de l'expansion de l'Univers, le degré de liberté des quanta croît induisant une désordonnance et un effet thermodynamique conduisant à des brisures de symétries structurant l'Univers. Cela génère un espace fibré fractal, et un hypersespace où le vide quantique, la matière et des champs de forces d'interactions -liant les quanta par sytèmes imbriqués selon les échelles de grandeur- surgissent au gré de la densité variable d'enchevêtrement des quanta unidimensionnels.
I.4. Une des conséquences de ce modèle est que les unités de Planck utilisés en relativité générale (RG), varieraient de façon infinitésimale (v. point XIV). Cela induirait une dérive insensible et continue des unités de Planck, indiscernable depuis la surface de l'univers qui se trouverait au delà d'un seuil critique de discernement : car ces variations s'opéreraient sur les unités-mêmes qui constituent la base et la fondation de la métrique de la RG. Ce sont précisément ces unités fixant le seuil physique de la plage des événements qui nous servent d'unités de mesure en physique théorique.
I.5. Depuis les sous-plans occupés par des niveaux de densités variables de quanta aux mouvements corrélés, les quanta se déploient vers la surface, suivant une désordonnance graduelle : ce qui semble résoudre le paradoxe de la quantité d'énergie du vide quantique qui devrait avoisiner les 10¹⁰⁷ J/cm³ selon les calculs théoriques et qui est négligé par les théoriciens afin de garder leurs modèles acceptables. Rappelons que l'ensemble de l'Univers observable contiendrait seulement (!) 2.10⁶⁹ J de matière.
Schéma 2
Illustration de l'expansion spatiale à l'échelle de Planck par désordonnance graduelle des sous-plans. D'un seul volume théorique de Planck (comprendre une sphère d'un diamètre égal à une longueur de Planck) qui grossit au gré de l'expansion de l'espace-temps, nous obtenons respectivement (ici en 2D) : 4 à 16, 9 et puis 81 volumes de Planck juxtaposés déployant un maillage de quanta suivant un processus thermodynamique quantique. Chaque point de l'univers opposant une inertie variable à la force d'expansion thermodynamique initiée lors du big bang.
Orbitales d'un atome.
Orbitales d'un atome illustrant visuellement le contact physique de toute la surface de l'espace-temps avec les sous-plans quantiques (ici intersection [x,y,z]) dans un continuum régi et orchestré par des chaînes d'intrications ou densités d'enchevêtrement hérités des sous-plans de l'hyperespace relativiste quantique à géométrie fractale. La géométrie de l'atome évoque fidèlement la représentation de l'image de droite supra et s'instrit dans une configuration conforme à un espace comme celui qui est soutenu dans l'illustration juste supra, rappelant la structure tridimensionelle de la base de l'espace (schéma 2).
I.6. Un effet inertiel quantique produit par la densité d'imbrication spatio-temporelle des quanta décroissant topologiquement en fonction du temps par entropie, génère une expansion isotrope de l'espace-temps. La désordonnance des quanta corrélés induit un degré de liberté variant selon la densité d'imbrication quantique, determinant la quantité de mouvements et la topologie de l'univers.
Schéma 1
Une structure fractale tissée par des quanta unidimensionnels infinitésimaux obéissant à des densités d'entrelacement suivant un dégradé constitue une fibre modèle fondant la trame de l'espace-temps. La matière comme les forces d'interactions sont des effets d'une inertie quantique sous jacente où s'opère un effet thermodynamique perpétuel, avec une perte de niveau de corrélations logarithmique en fonction des échelles de grandeurs, qui est à l'origine de l'expansion de l'univers.
I.7. Du fait de variations de métriques, nous obtenons une impression d'intemporalité à l'échelle quantique, qui se retrouve en RG avec Rij=0 pour Tij=0. Les mouvements sous Planck demeurent indiscernables depuis la surface de l'espace-temps. Le degré de liberté y est trop faible par rapport à notre échelle d'écoulement du temps pour que les événements restent discernables à notre échelle de grandeur : le clivage de métriques censure toute mesure en deça des limites de Planck.
I.8. Les particules observables surgissent dans les limites de la métrique locale, sur la surface du mur de Planck, et entrent en interaction, suscitant une distorsion spatio-temporelle relativiste et générant la gravitation et la courbure de l'espace-temps depuis les échelles infinitésimales.
Schéma 3
Illustration du confinement des spinons : un tel processus peut induire la création des particules appariées deux à deux. La perturbation des champs de quanta synchronisés par niveaux d'énergie conduit, lors de l'expansion de l'espace, à la naissance de corpuscules miroirs : tels que les quarks ; suivant la géométrie fractale de l'univers s'étendant par déploiement.
(Chaque particule emporte une partie de quanta orientés suivant une même configuration ou son inverse dans une direction ou dans la direction inverse. Les particules portent des familles de quanta aux comportements complexes hautement non-linéaires.)
I.10. C devient elle aussi (dans notre modèle) une variable qui évolue insensiblement suivant la topologie des sous-plans de l'espace selon le degré de liberté. C fixe depuis la surface de l'espace-temps, la limite de discernement physique permise des événements s'opérant à des échelles de grandeurs évoluant au-dessus de C⁻¹ : ce qui censure la métrique de la MQ depuis la surface de l'Univers et génère une marge d'erreur aux échelles cosmiques (accélération de la vitesse d'expansion de l'univers, masse manquante, énergie noire, ...).
I.11. La variation de densité de courbure, donne naissance à un tenseur de courbure d'une variété particulière (Ricci/Klainerman), qui est de carré intégrable (dont l'intégrale du carré de la valeur initiale est un nombre fini : à savoir la dimension d'un quantum unidimensionnel infinitésimal canonique).
Schéma 4
Plan mnémotechnique de Fano : le diagramme rappelle les produits des octonions. Le conjugué des unités est une involution de O. L'espace quantique relativiste présenté dans le présent article peut être illustré par ce diagramme concernant le passage de la base euclidienne plate tridimensionelle de l'espace à un hypespace fractal.
I.12. Les quanta se synchronisent par contacts, plus ou moins fréquents selon la quantité de mouvement. Lorsque les quanta ont plus de liberté de mouvement ils s'accélèrent mutuellement. Lorsqu'ils se touchent, ils sont deviés ponctuellement et un effet inertiel naît à la limite supérieure du degré de liberté, qui conduit à un ralentissement local vis-à-vis de l'expansion spatiale : c'est l'émergence d'un champ de force quantique qui évolue par paliers, de façon concentrique. Périodiquement les quanta sont accélérés ou décélérés : cela produit une perturbation de métriques et détermine la topologie de l'espace-temps.
Les quanta sont décélérés le long de leur parcours en se touchant de proche en proche, ce qui perturbe la vitesse d'expansion de l'espace. La vitesse de déplacement des quanta étant maintenue inertiellement, chaque contact entre quanta conduit ceux-là à une déviation ponctuelle, induisant à l'échelle macroscopique l'illusion de forces d'interactions. Les objets semblent exercer une force d'attraction magique les uns sur les autre.
I.13. Conformément à la formule e=mC² la matière ne devient observable (discernable) depuis la surface de l'univers qu'à partir d'un seuil d'énergie minimal entrant dans les limites de mesurabilité de la métrique relativiste indexée sur la valeur locale et ponctuelle de C.
I.14. Cette théorie du tout conduit à une n-sphère à structure fractale, ou un bulbe fractal, obéissant à une relativité quantique régissant des quanta unidimensionnels de taille infiniment petite, dont la mécanique profonde est orchestrée suivant la densité d'intrications s'opérant dans les sous-plans.
I.15. C'est l'intrication qui orchestre le tout suivant des degrés d'imbrication ou de corrélations par ordre d'échelles de grandeurs : chaque niveau d'espace-temps étant censuré aux niveaux supérieurs et inférieurs après un seuil critique de clivage métrique spatio-temporel.
La différence de la vitesse des quanta suivant les échelles de grandeurs induit des clivages de métriques, ici l'onde rouge plus rapide que l'onde verte conduit à des recoupements périodiques : à l'échelle du multivers, notre univers se situerait entre deux points de recoupements des deux ondes. Le flux plus rapide correspondant aux zones occupées par la matière expliquerait l'illusion de champs de forces.
La relativité quantique fractale, ou modèle à variation de métrique perpétuelle redevient causale et déterministe, mais présente des effets d'apparence aléatoires du fait de processus hautement non linéaires donnant une impression de non causalité (censure métrique). C'est cela qui caractérise la MQ vu depuis la surface de l'Univers. Ci dessus un exemple de Mandelbulb fractal.
I.16. L'énergie est transportée par des quanta en mouvements inertiels complexes. Ces quanta sont des objets unidimensionnels infinitésimaux de taille canonique interagissant depuis des échelles infinitésimales et se transmettant des comportements suivant la loi normale. Leurs interactions engendrent une cascade de comportements mécaniques dans un hyperespace fractal : générant un effet de relativité quantique que nous soutiendrons infra.
I.17. Cette variation de métriques transporte un processus de variation de densité s'imprimant dans la trame de l'espace-temps relativiste au dessus des limites de la métrique de Planck, qui suscite et maintient des constantes physiques selon les niveaux d'échelles, en cascade : C, α, G, ..., structurant l'Univers (brisures de symétries, perturbation primordiale).
I.18. La gravitation quantique est régie par l'inertie relative du vide quantique produite et modulée suivant les degrés d'enchevêtrement. C'est elle qui garantit l'apparition et la stabilité des particules de matière suivant l'équilibre inertiel relativiste devenant observable au seuil de : e=mC², plus précisément : e=[(FC²)/a]. Les sous-plans de l'espace-temps aparaissent ainsi intemporels depuis la surface. La valeur de C correspond bien ici à une variable.
I.19. Les limites physiques et algébriques de la métrique qui varie déterminent la mécanique relativiste étant à leur tour orchestrées par C variant subtilement de façon indiscernable, du fait d'une désordonnance la faisant dériver également de façon insensible : un désamorçage progressif des chaines de corrélations, obéissant à un équilibre entropique inévitable, siège à la racine profonde et fractale des brisures de symétries régissant les forces fondamentales d'interactions structurant L'Univers. L'origine quantique de l'intrication dans la mise en place des interactions fondamentales justifiera par ailleurs l'étrangeté des charges de couleurs sélective énigmatique de façon inattendue et intelligible : la moyenne de la configuration des flux quantiques en expansion exerçant un effet de poussée sélectif suivant la configuration quantique interne particulière par familles de particules.
II. Quantum unidimensionnel, génération des champs de force et topologie de l'espace :
II.1a. Un quantum unidimensionnel consiste en un objet infinitésimal en forme de segment de droite de taille infiniment petite. De par sa longueur infiniment petite, la distance entre ses deux bords est négligeable et tend à zéro.
II.1b. L'unidimensionnalité des quanta a une origine également intelligible et triviale : le mouvement ponctuel d'un quantum devant précéder, à cette échelle, l'émergence du temps : un quantum n'existe physiquement qu'en entrant en mouvement, parallèlement à l'émergeance du temps. Chaque quantum véritablement ponctuel en mouvement subira une polarisation infinitésimale avant l'émergence de la dimension temps ; ainsi il aura dans la base spatio-temporelle de l'espace une forme non pas ponctuelle, mais unidimensionnelle. Sans mouvement les quanta s'évanouiraient et disparaîtraient purement et simplement sur le plan physique.
II.1b. L'unidimensionnalité des quanta a une origine également intelligible et triviale : le mouvement ponctuel d'un quantum devant précéder, à cette échelle, l'émergence du temps : un quantum n'existe physiquement qu'en entrant en mouvement, parallèlement à l'émergeance du temps. Chaque quantum véritablement ponctuel en mouvement subira une polarisation infinitésimale avant l'émergence de la dimension temps ; ainsi il aura dans la base spatio-temporelle de l'espace une forme non pas ponctuelle, mais unidimensionnelle. Sans mouvement les quanta s'évanouiraient et disparaîtraient purement et simplement sur le plan physique.
II.2. Concrètement, lorsqu'un des bords d'un quantum a une orientation donnée l'autre bord a une orientation juste à son opposé. Par conséquent, chaque mouvement implique deux orientations opposées dans l'espace. Deux quantum entrés en contact se repoussent en échangeant un mouvement en miroir, qui se répercute au gré des interactions de façon gaussienne, donnant à chaque quantum une infinité de mouvements ponctuels d'une très haute complexité cumulant la mémoire d'une infinité d'interactions.
II.3 Dans notre modèle l'espace réel a trois dimensions, et il est parfaitement plat. Les quanta, étant de taille infinitésimale, évoluent et interagissent de proche en proche en sorte que chaque point d'espace permet en tout et pour tout 6 orientations suivant les 3 dimensions au point zero de la base de l'espace. Chaque point physique d'espace est la résultante de 4 points juxtaposés comparables aux coins d'un tétraèdre régulier de dimension infinitésimale. On revient ainsi aux trois dimensions sensorielles : hauteur, largeur et profondeur dans un espace euclidien à trois dimensions infinitésimal.
Représentation de quatre sphères se recoupant et de leurs intersections. Selon notre modèle d'univers, la topologie de l'espace serait la conséquence géométrique de ce genre de fluctuation en énergie sur la base de l'espace réel plat à trois dimensions, correspondant à la configuration tridimensionnelle basique de chaque point de l'espace nu à l'échelle de l'infiniment petit.
Les points représentent les paquets de quanta ballotés au gré de leurs déplacements. Les ondes partant depuis le centre figurent l'effet d'entropie qui éloigne chaque quanta de l'espace les uns des autres, les ondes qui convergent vers le centre figurant le flux des quanta environnants qui eux aussi s'éloignent les uns des autres en chaque point de l'espace. L'espace-temps se pixellise : chaque point de notre ligne d'univers se situe en son centre, suivant un modèle fractal.
II.4. A l'intersection des sphère de quanta chargés en énergie et en quantité de mouvements, s'opèrent des fluctuations d'énergie engendrant des paquets de quanta aux propriétés symétriques. Les propriétés quantiques des paquets de quanta varient selon leurs parcours au carrefour des volmes d'espace grandissant depuis chaque point depuis la base de l'espace. Les propriétés de la matière correspondant au cumul comportemental probabiliste des quanta qui la constituent, génèrent des familles de particules aux caractéristiques standards et symétriques.
Les points représentent les paquets de quanta ballotés au gré de leurs déplacements. Les ondes partant depuis le centre figurent l'effet d'entropie qui éloigne chaque quanta de l'espace les uns des autres, les ondes qui convergent vers le centre figurant le flux des quanta environnants qui eux aussi s'éloignent les uns des autres en chaque point de l'espace. L'espace-temps se pixellise : chaque point de notre ligne d'univers se situe en son centre, suivant un modèle fractal.
II.5. L'expansion de l'espace s'opérant en chaque point de l'espace nu, induit, au gré des fluctuations, des paquets de quanta constituant la matière, et une synchronisation spatio-temporelle de ceux-ci génère l'illusion de l'effet à distance de champs de forces.
II.6. C'est la désordonnance des quanta qui occupent un espace de plus en plus étendu qui conduit chaque quantum à suivre des lignes d'espace aux conjonctures de telles sphères d'énergie grossissant de proche en proche.
II.7. Du fait que l'espace réel est topologiquement inerte et parfaitement plat, 16 types de configurations correspondant respectivement aux 12 arrêtes et 4 diagonales transversales du point zero sont permises pour chaque quantum pris un à un à l'échelle infinitesimale.
- Depuis chaque point de l'espace, des sphères de quanta grossissent, et elles croisent les quanta des régions voisines et interagissent avec elles de proche en proche : la base de l'espace se pixellise.
- A l'échelle infinitésimale, ou au point zero, chaque quantum est limité à strictement 16 configurations correspondant aux arrêtes et à la hauteur d'un tétraèdre (la taille infinitésimale des quantum tend à zéro et la longueur d'une arrête tent à la longueur d'une diagonale) : un volume minimal d'espace est limité par la longueur infinitésimale d'un quantum et l'espace se courbe en se déployant.
- La quantité de mouvements croît, ce qui conduit à la désordonnance des quanta et induit des brisures de symétries par un effet thermodynamique.
- Les sphères de quanta grossissant génèrent à leurs intersections des genres de cercles de Villarceau en trois dimensions structurant la base de l'espace en forme de tore.
- Une infinité de structures entrelacées prennent naissance depuis la base de l'espace qui obéissent à la loi des fractales et à la loi normale : cela génère des lois physiques et des constantes.
- Notre univers observable se situe dans une frange infime des structures infinies du multivers formées par les quanta s'organissant dans un hyperespace.
II.6. C'est la désordonnance des quanta qui occupent un espace de plus en plus étendu qui conduit chaque quantum à suivre des lignes d'espace aux conjonctures de telles sphères d'énergie grossissant de proche en proche.
II.7. Du fait que l'espace réel est topologiquement inerte et parfaitement plat, 16 types de configurations correspondant respectivement aux 12 arrêtes et 4 diagonales transversales du point zero sont permises pour chaque quantum pris un à un à l'échelle infinitesimale.
II.8. A mesure que les quanta se repoussent, l'espace se charge en énergie et en quantité de mouvements. Les quanta s'éloigent les uns des autres de façon isotrope, comme si l'espace chargé en énergie était composé d'unités d'espace parfaitement sphériques grandissant en volume et se chevauchant de proche en proches.
II.9. Des genres de Cercles de Vilarceau se forment et induisent respectivement une structure en forme de tore, et puis un hyperespace fractal qui s'organise au gré de la congruence des comportements symétriques des quanta.
Lignes d'alignement des grandes structures de l'Univers observable correspondant aux implications topologiques de notre modèle fractal. Les filaments de condensation de matière évoquent la rémanence des propriétés quantiques des interactions quantiques infinitésimales reproduisant un schéma similaire compatible avec un modèle fractal de l'espace-temps (avec un effet thermadynamique qui justifie le non alignement parfait).
Représentation de notre Univers observable : la matière se forme à la conjonction de sphères de fluctuations comme prédites par notre modèle.
II.10. Chaque quantum étant entré en contact avec un autre quantum en porte une mémoire cinétique en effet de miroir, en sorte que les quanta entrés en contact obéissent à des comportements synchronisés suivant un modèle fractal, des mouvements sophistiqués et complexes mainetnus par simple inertie. La quantité d'energie inertielle convertie en energie cinétique se maintient car les quanta se touchant s'accélèrent ou s'organisent en réseaux, mais la quantité d'energie globale demeure stable malgré l'expansion d'une infinité de quanta.
II.11. Les régions de l'univers se structurent en obéissant à la loi normale et se forment ainsi des structures fractales semblant obéir à des lois physiques très rigoureuses, qui émergent par la congruence comportementale évolutionnaire des paquets de quanta.
II.12. La condensation énergétique et la quantité de mouvement des quanta engendré par des fluctuations, conduisent à l'émergence de paquets de quanta s'organisant suivant la loi normale.
II.13. La désordonnance des quanta aboutit à des brisures de symétries et un effet thermodynamique qui donne naisance à une infinité d'univers obéisant à la loi des fractales dont la matière ordinaire n'est qu'une des formes détectables à notre échelle d'espace-temps.
II.14. Si la longueur infinitésimale d'un quantum est négligeable et tend à zéro ponctuellement, la base de l'espace étant plate et tridimensionnelle, le taux d'interactions entre quanta diminue logarithmiquement avec la distance. Car chaque volume minimal d'espace est tétraédrique. Or, un côté d'un tétraèdre régulier est strictement inférieure à sa hauteur. Cela induit un cumul de la quantité de mouvements proportionnel à la distance des quanta. Et un décrochage logarithmique du taux de corrélations et interactions entre quanta : ce qui est la source des forces d'interactions physiques organisant la matière.
II.12. La condensation énergétique et la quantité de mouvement des quanta engendré par des fluctuations, conduisent à l'émergence de paquets de quanta s'organisant suivant la loi normale.
II.13. La désordonnance des quanta aboutit à des brisures de symétries et un effet thermodynamique qui donne naisance à une infinité d'univers obéisant à la loi des fractales dont la matière ordinaire n'est qu'une des formes détectables à notre échelle d'espace-temps.
II.14. Si la longueur infinitésimale d'un quantum est négligeable et tend à zéro ponctuellement, la base de l'espace étant plate et tridimensionnelle, le taux d'interactions entre quanta diminue logarithmiquement avec la distance. Car chaque volume minimal d'espace est tétraédrique. Or, un côté d'un tétraèdre régulier est strictement inférieure à sa hauteur. Cela induit un cumul de la quantité de mouvements proportionnel à la distance des quanta. Et un décrochage logarithmique du taux de corrélations et interactions entre quanta : ce qui est la source des forces d'interactions physiques organisant la matière.
Le côté d'un tétraèdre régulier est strictement supérieure à sa hauteur. Le simple fait géométrique combiné à la taille canonique des quanta suffit à engendrer par congruance les lois de la physique. La stabilité de la variation du degré de saturation de l'espace par les quanta explique de même la très grande stabilité des lois physiques, mais justifie par ailleurs un effet thermodynamique lors du passage de l'échelle infinitésimale à des échelles macroscopiques. Cette différence (arrète/diagonale) serait l'explication basique des brisures de symétrie et de la perturbation primordiale de densités.
L'ordonnancement optimal du volume tétraédrique conduit à une structure en octoedre comme illustré supra. Le degré des contraintes sur chaque quanta est optimal : c'est l'état quantique le plus stable au point zéro de l'espace.
Du fait du transfert de comportements par les quanta unidimensionnels, les objets formés par des paquets de quanta induisent des lois. L'intrication comme l'illusion d'attraction à distance redeviennent intuitives.
III. Comportements mécaniques évolutionniste :
III.2. L'intrication quantique orchestre les particules par un jeu d'équilibre spin-orbite. L'intrication n'étant jamais totalement annulée de par les propriétés caractéristiques de l'espace hilbertien qui en définit la géométrie et parceque les quanta progressent fondamentalement par simple inertie. Laquelle synchroniserait l'ensemble, en maintenant par ailleurs le contact avec le sous-plan quantique où le temps ne s'écoule plus depuis la surface de l'Univers qu'étant soumise à une censure d'une métrique variable.
III.3. Avec les quanta unidimensionnels obéissant à une quantité de mouvement croissante depuis les échelles infinitésimales et interagissant par intrication, suivant une synchronisation obéissant à la loi des fractales nous parvenons à obtenir tout type d'espace multi-connexe, toute topologie mathématiquement permise, et à générer des lois obéissant à la loi normale et au théorème central limite. Ainsi, nous trouvons un espace continu aboutissant à un espace discret, évitons la singulatité primordiale, et parvenons à marier spontanément RG et MQ. L'Univers devient un multivers, un hyperespace obéissant à la loi des fractales dont notre univers n'est qu'une des régions confinées spatio-temporellement. Les autres dimensions demeurant non mesurables dans les limites de la physique "locale" ou "ponctuelle".
IV. Rapport longueur de Planck / temps de Planck :
"Les infidèles ne voient-ils pas que les cieux et la terre formaient une masse compacte, et que nous les avons séparés (ndl. dissocié), et qu’au moyen de l’eau nous donnons la vie à toutes choses ? Ne croiront-ils pas ? [1]"
(Cor. 21,30)
(Cor. 21,30)
"Le ciel, Nous l’avons construit par Notre puissance : et Nous l’étendons [constamment] : dans l’immensité. [2]"
(Cor. 51,47)
III.1. La variation de métrique s'opérant depuis les sous-plans de l'espace-temps, est la clé de l'émergence des structures et de la mécanique de l'Univers, selon un processus d'échange de potentiel et de comportements mécaniques évolutionniste transmis suivant les densités d'intrications dans un sous-espace quantique. Une infinité de quanta de taille infinitésimale interagissent à des degrés à gradients stochastiques gaussiens, et l'espace-temps relativiste s'organise à la surface de l'Univers.(Cor. 51,47)
III.2. L'intrication quantique orchestre les particules par un jeu d'équilibre spin-orbite. L'intrication n'étant jamais totalement annulée de par les propriétés caractéristiques de l'espace hilbertien qui en définit la géométrie et parceque les quanta progressent fondamentalement par simple inertie. Laquelle synchroniserait l'ensemble, en maintenant par ailleurs le contact avec le sous-plan quantique où le temps ne s'écoule plus depuis la surface de l'Univers qu'étant soumise à une censure d'une métrique variable.
III.3. Avec les quanta unidimensionnels obéissant à une quantité de mouvement croissante depuis les échelles infinitésimales et interagissant par intrication, suivant une synchronisation obéissant à la loi des fractales nous parvenons à obtenir tout type d'espace multi-connexe, toute topologie mathématiquement permise, et à générer des lois obéissant à la loi normale et au théorème central limite. Ainsi, nous trouvons un espace continu aboutissant à un espace discret, évitons la singulatité primordiale, et parvenons à marier spontanément RG et MQ. L'Univers devient un multivers, un hyperespace obéissant à la loi des fractales dont notre univers n'est qu'une des régions confinées spatio-temporellement. Les autres dimensions demeurant non mesurables dans les limites de la physique "locale" ou "ponctuelle".
IV. Rapport longueur de Planck / temps de Planck :
1,616 . 10-35 m/5,391 . 10-44 s = 0,299 758 857 (354 850) mq/sq
C = 299 792 458, 000 000 m/s
IV.1. La clé de la fusion entre MQ et RG résiderait dans ce décalage de la dimension d'un espace-temps quantique minimal (longueur de Planck/temps de Planck) proportionellement plus petit en rapport à C qui correspond à la distance parcourue par un photon en une seconde.
IV.2. Or, selon la RG, les longueurs et le temps rétrécissent suivant un processus conservant les proportions entre longueur spatiale et durée, en fonction de la vitesse. Cet écart proportionnel entre longueur de Planck/temps de Planck et année lumière montre une faille qui est un marqueur de l'origine de la naissance de notre Univers lors du big bang et de la rupture de métrique entre RG et MQ.
IV.3. Nous allons montrer (v. pt XIV) que ce décalage met à nu une perturbation de métriques canonique, qui réside à l'origine de la mise en place en cascade des constantes structurant l'Univers, et lui permet de subsister dans le temps. Cet écart remontant au mur de Planck serait à l'origine de la brisure de symétrie, dûe à un clivage des métriques entre la surface et les sous-plans ; élucidant mathématiquement les étrangetés quantiques, expliquant la mise en place des structures de l'Univers, la géométrie des orbitales des atomes en passant par la forme en spirale des galaxies, et résolvant l'énigme de l'accélération de l'Univers observée dans les centres d'observations.
IV.4. Remarquons, que nous travaillons en termes d'ordres de grandeurs converties en valeurs proportionnelles, puisque nous serions aux sources de l'instauration d'une métrique mathématisable variable correspondant à notre paradigme d'un grossissement d'échelle relative suivant une topologie fractale. Nous avons donc choisi d'écrire mq et sq pour une métrique appropriée[note3] renommée afin de rendre ce procédé inédit intelligible.
IV.5. Ce modèle propose un mécanisme sous-jacent à la base de la mécanique, unifiant les modèles de la RG et de la MQ, qui rendrait intelligibles et intuitifs toute une série d'étrangetés contre-intuitives, en partant de la courbure de l'espace-temps, en passant par la dualité onde-particule, ou l'intrication quantique. Ceci fonderait l'idée charnière que tout dérive de l'expansion de l'Univers de manière isotrope, à une vitesse variable, avec une conservation d'échelle relative[note4]. Ce modèle se calquerait ainsi aux fondations de la physique, mariant la RG et la MQ de façon inattendue.
Schéma 5
Illustration des champs d'imbrication quantiques à la conjoncture de huit "volumes" de Planck, équivalents à un point unique de la surface de l'espace-temps. La forme en tore au centre corresdpond à la topologie de notre ligne d'univers. L'Univers acquière à l'échelle macroscopique une topologie multiconnexe et fractale s'organisant autours de pixels d'espace insondables depuis la surface.
Schéma 6
L'émergence des particules de matière coïncide avec un seuil métrique critique (censure métrique), des particules suivant la formule relativiste : e=m.C². La densité d'entrelacement fait converger l'énergie des photons et les piège à la frontière de Planck et au seuil de clivage de métriques. Arrivé à saturation, un particule détectable surgit depuis la surface de l'univers épousant fidèlement la forme de l'espace sous-jascent en déploiement.
Schéma 7
Illustration de l'effet de gravitation quantique : l'enchevêtrement des quanta de densité variable induit un effet de résistance relative à la vitesse d'expansion, des objets peuplant notre ligne d'univers. Les zones d'entrelacs plus denses se maintiennent proportionellement plus denses que leur environnement malgré une expansion spatiale globale du fait d'un processus thermodynamique.
La surface de l'Univers subit un désalignement des géodésiques du fait d'un tenseur de courbure lâche généré par un équilibre gaussien entre les variations de métriques et le taux d'expansion de l'univers.[note5].
V. Limites de Planck :
V.1. Les limites de Planck seraient déterminées par le rapport entre gravité quantique (inertie relative au mouvement) et gravité relativiste, qui serait à l'origine de la topologie de l'espace-temps.
V.2. En effet, il est pratique que la vitesse de la lumière lie les unités de Planck à la RG, comme dans le rapport de la longueur de Planck et du temps de Planck par exemple (permettant une comparaison) :
V.2. En effet, il est pratique que la vitesse de la lumière lie les unités de Planck à la RG, comme dans le rapport de la longueur de Planck et du temps de Planck par exemple (permettant une comparaison) :
1,616 . 10-35 m/5,391 . 10-44 s = 0,299 758 857 (354 850) . 10⁻⁷⁸ mq/sq
V.3. Ce rapport est à comparer avec la vitesse de la lumière qui est de 299 792 458 m/s. C'est l'espace-temps quantique, avec un décalage maintenant l'Univers dans un état d'équilibre relativiste quantique du fait de l'hypercohérence du sous espace. Le tout étant lié en un continuum spatio-temporel à géométrie fractale. La répercution des variations d'échelles de grandeurs s'opérant aux echelles quantiques devant être observée à l'échelle universelle, du fait du cumul du décalage entre l'espace-temps quantique et l'espace-temps relativiste.
Schéma 8
Le rapport entre gravité quantique et gravité relativiste serait à l'origine de la topologie de l'espace-temps. La longueur de λ ci dessus est une représentation visuelle de la dilatation proportionelle de l'espace où se propage une onde de lumière. Il faut que λ soit conservée proportionelle au taux d'expansion à notre échelle de métriques pour que la RG et la MQ restent compatibles.
V.4. Les photons n'ayant pas de masse sont entraînés au rythme de l'expansion de l'espace soumis à une variation indiscernable de métrique indifféremment de leurs orientations. Ils sont déviés aux environs de tout objet selon sa masse du fait que l'expansion y est ponctuellement décélérée. La matière n'étant qu'une forme fluctuée de l'espace dont elle déforme la topologie. Les photons sont ainsi soumis à une métrique difféomorphe et sont piégés dans la matière. Lorsque le volume occupé par la matière est énergétiquement saturé, un photon aux même caractéristiques d'un photon incident est émis et son état énergétique se maintient stable.
VI. Dualité onde-corpuscule :
VI.1. La dualité onde-corpuscule serait une conséquence des variations de métriques, et un effet de la relativité quantique orchestrant un équilibrage logarithmique de la quantité de mouvements en fonction des ordres de grandeurs.
VI.3. Lors de la mesure d'une particule à l'échelle quantique, nous nous retrouvons à la limite du clivage de métriques quantique mentionné plus haut. Un lot de multiples des particules demeure observable à la surface de l'univers qui persiste encore à la frontière du clivage de métriques. Nous les mesurons donc dans une région diffuse interpété en MQ comme un domaine de probabilités.
VI.4. Dans certaines conditions expérimentales, proches du zéro absolu, nous parvenons à relever des valeurs de spin, de charge et de coordonnées orbitales qui semblent déconfinés, fait qui est interprété comme une séparation spin-charge [3]. Nous observons des états de multiples d'une particule à la limite du clivage de métrique. Ceci expliquerait de même l'apparition des paires de Cooper à température basse : des passages d'une ligne d'univers à l'autre justifiant ces interférences.
VI.5. La réduction de la fonction d'onde prend un sens intelligible et trivial : l'expansion quantique conduit les multiples de la particule générés à l'évanouissement dans des lignes d'univers distinctes à mesure du dispersement des multiples des particules.
VI.6. La réduction de la fonction d'onde correspondrait ainsi à l'échelle supérieure, avec l'absence apparente des particules jumelles d'antimatière qui se retrouvent pareillement dans des dimensions distinctes de celles qui nous sont sensibles.
VI.7. La particule accélérée à la vitesse de la lumière atteint le seuil critique permis par la permissivité du vide. Elle ne peut cumuler d'autre mouvement à celle de sa trajectoire du fait qu'elle a atteint la quantité de mouvements maximale permise dans son environnement. La particule résiste ainsi à l'expansion ponctuelle du vide maintenant son mouvement inertiel et paraît dévier le long de sa trajectoire par rapport aux objets environnants qui sont plus lents qu'elle et subissent davantage l'expansion de l'hyperespace. Ce qui explique la constance de la célérité de la lumière.
VI.8. Le degré de la distorsion relativiste quantique se produit parfois à l'extrême limite du clivage de métriques lors du passage aux sous-plans plus profonds de l'hyperespace, conduisant parfois à un effet tunnel s'opérant sous la marge d'incertitude de Heisenberg.
VI.9. Un objet s'approchant de la célérité de la lumière ne pouvant combiner d'autre mouvement à celle de sa trajectoire maintient ses dimensions et semble rétrécir comparativement aux objets environnants plus lents qui subissent un grossissement d'échelle plus important.
La combinaison des forces induit une force resultante. Un objet subissant la force efficace optimale permise dans le vide quantique ne peut donc combiner un mouvement supplémentaire et violer le seuil critique de quantité de mouvements physiquement permis. Les photons sont des flux de quanta voyageant au gré de l'expansion spatiale et du degré de liberté et de quantité de mouvements permis suivant le degré de saturation quantique. Les photons sont les plus petits objets quantiques émergeant détectables à la limite de la censure de métriques.
VI.2. Nous nous retrouvons dans un univers fractal dont chaque point contient une infinité de copies de l'Univers, ce qui explique l'enchevêtrement du passé, du présent et du futur prédit par la RG et la non localité prédite par la MQ. Un multivers d'une telle complexité devient permis du fait qu'il relève des interactions d'une infinité de quanta de dimension infinitésimale distribués dans un espace très étendu. De même, les inégalités de Heisenberg trouvent tout leur sens du fait que lors de chaque mesure ponctuelle nous relevons des états particuliers des observables parmi une infinité de copies diffuses dans un volume d'espace non local.
L'Univers serait composé d'une infinité d'exemplaires synchronisés suivant un modèle fractal. Chaque point d'univers contenant ainsi une infinité de copies de celui-ci et de son passé. Ce qui explique la non localité quantique et l'entrelassement des passé, présent et futur prédite en RG, résolvant la question de l'énigme de la simultanéité relativiste.
VI.4. Dans certaines conditions expérimentales, proches du zéro absolu, nous parvenons à relever des valeurs de spin, de charge et de coordonnées orbitales qui semblent déconfinés, fait qui est interprété comme une séparation spin-charge [3]. Nous observons des états de multiples d'une particule à la limite du clivage de métrique. Ceci expliquerait de même l'apparition des paires de Cooper à température basse : des passages d'une ligne d'univers à l'autre justifiant ces interférences.
VI.5. La réduction de la fonction d'onde prend un sens intelligible et trivial : l'expansion quantique conduit les multiples de la particule générés à l'évanouissement dans des lignes d'univers distinctes à mesure du dispersement des multiples des particules.
VI.6. La réduction de la fonction d'onde correspondrait ainsi à l'échelle supérieure, avec l'absence apparente des particules jumelles d'antimatière qui se retrouvent pareillement dans des dimensions distinctes de celles qui nous sont sensibles.
VI.7. La particule accélérée à la vitesse de la lumière atteint le seuil critique permis par la permissivité du vide. Elle ne peut cumuler d'autre mouvement à celle de sa trajectoire du fait qu'elle a atteint la quantité de mouvements maximale permise dans son environnement. La particule résiste ainsi à l'expansion ponctuelle du vide maintenant son mouvement inertiel et paraît dévier le long de sa trajectoire par rapport aux objets environnants qui sont plus lents qu'elle et subissent davantage l'expansion de l'hyperespace. Ce qui explique la constance de la célérité de la lumière.
Schéma 9
Lors des interactions cinétiques entre les objets à l'échelle quantique ceux-ci subissent un effet local de distorsion spatio-temporelle et semblent onduler. Le degré de liberté décroît asymptotiquement à mesure de la réduction d'échelle spatio-temporelle incluant les particules de matière. Les particules semblent se mouvoir suivant un comportement ondulatoire car leur environnement grossit en épousant la forme de l'espace fibré torique tandis qu'elles mêmes maintiennent leurs dimensions et trajectoires en équilibre relatif.
VI.8. Le degré de la distorsion relativiste quantique se produit parfois à l'extrême limite du clivage de métriques lors du passage aux sous-plans plus profonds de l'hyperespace, conduisant parfois à un effet tunnel s'opérant sous la marge d'incertitude de Heisenberg.
VI.9. Un objet s'approchant de la célérité de la lumière ne pouvant combiner d'autre mouvement à celle de sa trajectoire maintient ses dimensions et semble rétrécir comparativement aux objets environnants plus lents qui subissent un grossissement d'échelle plus important.
Schéma 10
La dualité onde-corpuscule serait un effet relativiste quantique dû à la distorsion du vide quantique à des degrés de finesse variant indiscernablement depuis notre base métrique brute. Cela produit des effet de deviations non-linéaires de leur trajectoire apparente relative se manifestant à l'échelle relativiste comme un comportement probabiliste[note6].
Schéma 11
Représentation de l'effet de l'espace relativiste à l'échelle quantique, et les fentes d'Young. Les particules subissent une distorsion spatio-temporelle dans les sous-plans à des niveaux de puissances fines indiscernables depuis notre échelle métrique locale, générant lors de la mesure des déviations obéissant à la loi normale : les particules sont ballotées d'un côté à l'autre du clivage de métrique. Ce que la MQ étudie comme un domaine de probabilité.
VII. Intrication quantique et non localité :
VII.1. L'intrication devient un effet relativiste quantique faisant paraître les observables mesurées, au seuil critique de Planck, intemporels. Les particules intriquées se mettent en phase et restent corrélées. Les quanta unidimensionels emprisonnés dans les particules s'ordonnent et sont imprimés de mouvements suivant un processus hautement non linéaire suivant une signature caractéristique du milieu de leur genèse.
VII.2. Lors de l'intrication les particules entrent en phase, les quanta qui les constituent respectivement se retrouvent corrélés et elles semblent former un seul objet aux comportements synchrones. Tant qu'un élément extérieur ne trouble aucune des particules intriquées, leurs maillage reste symétrique malgré la grande complexité de leurs structures internes soumises à des processus quantiques non-linéaires, indifféremment du temps ou de la distance qui les sépare.
VII.2. Lors de l'intrication les particules entrent en phase, les quanta qui les constituent respectivement se retrouvent corrélés et elles semblent former un seul objet aux comportements synchrones. Tant qu'un élément extérieur ne trouble aucune des particules intriquées, leurs maillage reste symétrique malgré la grande complexité de leurs structures internes soumises à des processus quantiques non-linéaires, indifféremment du temps ou de la distance qui les sépare.
Les quanta emplissant le volume des particules s'organisent en obéissant à une structure caractéristique imprimée lors de leurs créations. Chaque paire de particule est ainsi caractérisée par une symétrie intérieure rigoureuse indiscernable.
VII.3. L'intrication ne disparaît jamais complètement dans les sous-plans les plus profonds, mais se dégrade de façon asymptotique générant une flèche du temps et un effet thermodynamique quantique. En effet, chaque contact entre quanta imprime un mouvement supplémentaire à ceux-ci qui se conserve par inertie : ne pouvant pas se dissiper du fait que le mouvement inertiel est potentiellement éternel et du fait que chaque particule est constrituée d'une infinité de quanta.
VII.4. Cet effet explique la génération canonique des quarks suivant le même processus en fonction du degré de la saturation énergétique et des caractéristiques quantiques de l'environnement dans lequel ils ont été créés : les comportements miroirs des particules de même génération sont des états corrélés brisés par des bifurcations dans un passé commun (comme un produit hamiltonien accompagnant la thermodynamique quantique), hérités des conditions identiques caractéristiques au lieu de leur création.
Familles des particules élémentaires par générations : toutes ont leurs symétriques à l'exception du champs de Higgs.
VII.5. Les particules issues dans le même environnement se présentent sous formes de paires obéissant à un effet de miroir.
Schéma 12
Représentation de l'intrication quantique entre deux particules
en rapport au sous-plan quantique, restant interconnectées jusqu'à une interférence avec de la matière extérieure au système. Cela est le secret de la stabilité des quarks et suggère l'existence d'univers parallèles très ressemblantes au nôtre vers le passé à l'infini. Pour déstabiliser les quarks il faut induire des niveau d'énergies comparables à celles qui ont induit leur création.
en rapport au sous-plan quantique, restant interconnectées jusqu'à une interférence avec de la matière extérieure au système. Cela est le secret de la stabilité des quarks et suggère l'existence d'univers parallèles très ressemblantes au nôtre vers le passé à l'infini. Pour déstabiliser les quarks il faut induire des niveau d'énergies comparables à celles qui ont induit leur création.
VIII. Energie noire, matière noire...
VIII.1. Un tenseur de courbure décalant la métrique au gré du concours des événements, et fixant la limite de C -devenant indiscernablement variable depuis la surface- serait la solution de l'énigme de l'énergie noire. Du fait d'un cumul de décalage entre l'espace-temps quantique et l'espace-temps cosmique, l'expansion observable de l'Univers s'accélère au fil du temps et les régions occupées par la matière augmentent en densité d'énergie. Cela expliquerait notre quête d'une masse manquante. Le déploiement de l'espace au mur de Planck induirait la genèse de la matière et de l'illusion de forces d'interactions par le passage de quantum dans notre ligne d'univers.
VIII.2. La différence de synchronisation entre le sous espace et la surface serait la source de l'effet de gravitation et d'expansion. Un moyen de tester ma théorie en structure fractale à chaque passage à un espace-supérieur est le suivant ;
VIII.2.1. Evaluation de la masse manquante et de l'énergie noire selon notre modèle :
Pourcentages actuel et dans le temps en matière sombre, en matière ordinaire et en énergie sombre de l'Univers.
(1) Matière ordinaire = 4,9% (masse des particules ordinaires connues)
A gauche : désintégration gamma d'une particule. A droite : figure montrant la loi du carré inverse et de la conservation d'energie.
(2) Matière noire = 4,9² = 24,01% (masse des particules du plan supérieur, après interaction entre deux lignes d'univers dans la n-sphère supérieure)
24,01% ~ 26,8%
24,01% < 26,8%
24,01% < 26,8%
(3) Energie noire = 4,9/2* = 2,45 (masse des particules du plan supérieur, après une désintégration gamma vers une n-sphère suivante : la matière s'est désintégrée et deux lignes d'univers interfèrent)
(2,45⁴) = 36,03
36,03 * 2 = 72,06 %
72,06% ~ 68,3%
72,06% > 68,3%
* L'énergie noire consisterait en les effets des interactions de la matière contenue à la limite du clivage de métriques supérieur de notre univers observable.
Schéma 13
Schéma de l'état de densité du 4-plan local (1/1) (matière ordinaire -cercle jaune-), de la matière noire du 5-plan (1/2) & (2/1) -cercles oranges-, et de l'effet de décrochage et une désintégration au 6-plan -observable seulement en partie (énergie noire -cadre rouge-) : ( 3/5, 5/2, 2/5 & 5/3). (1/4, 4/3, 3/4 & 4/1) : inobservable -cadres gris-. Les régions de l'univers situées au-delà du cercle bleu sont inobservables du fait du clivage de métriques supérieur.
VIII.2.2.a. Rapport direct avec les volumes d'espaces de n-sphères intégrées et topologie fractale :
Rmq. Les sphères de n=1, n=2 et n =3 demeurent insondables et sous la barrière de Planck.
Rmq. Les sphères de n=1, n=2 et n =3 demeurent insondables et sous la barrière de Planck.
4-sphère ; 1/2 π² * 1 = 4,93480 ~ 4,9% (! le rayon = 1 !)
↪ 5-sphère * 4-sphère ; 8/15 π² * 1 * 4,9348 = 25,9757460259 ~ 26,8%
↪ 5-sphère * 4-sphère ; 8/15 π² * 1 * 4,9348 = 25,9757460259 ~ 26,8%
↪ 6-sphère * 5-sphère * 4-sphère ; (1/6 * π³ * 1 * 25,97)/2 = 67,10275 ~ 68,3%
De façon simplifiée, si les ensembles supra représentent des hypersphères de dimensions 4, 5 et 6 (du plus petit cercle aux plus grands) : la matière se retrouve alors dans l'ensemble A, la matière sombre dans les ensembles B et l'énergie sombre dans la partie observable de les ensembles C.
Du fait d'un effet thermodynamique il est permis de concevoir que notre univers observable se situe au confluent de n-sphères entrant en interactions suivant une configuration particulière parmi une infinité de configurations (effet thermodynamique rémanant) : car toute dérive s'imprime dans la trame de l'espace-temps de façon persistante.
4-sphère ; 1/2 π² * 1 = 4,93480 ~ 4,9% (! le rayon = 1 !)
↪ 5-sphère * 5-sphère ; 8/15 π² * 1 * 5,26379 = 27,7074744
4.93% ~ 4.9%
⇒ (27,7074744 + 25,9757460259)/2 = 26,82 ~ 26,8%
26,82% ~ 26,8%
↪ 6-sphère * 5-sphère * 5-sphère ; (1/6 * π³ * 1 * 26,82)/2 = 69,321304
⇒ (69,321304 + 67,10275)/2 = 68,21[*] ~ 68,3%
68.21% ~ 68.3%
>> 4,93 + 26,82 + 68,21 = 99,96
04,93/99,96*100 = 04,93 % ~ 04,9 %
26,82/99,96*100 = 26,83 % ~ 26,8 %
68,21/99,96*100 = 68.24 % ~ 68,3 %
---------------------------------------------
100%
Chaque photon en mouvement subit l'effet de l'expansion spatio-temporelle équivalant au rayon du volume d'espace qui croît à rebours. Le carré inverse de C coïncidant avec la moitié de la vitesse d'expansion de l'univers observable : la moitié du volume unitaire de la n-sphère de dimension 6 (1/6 . π³ . 1/2) se trouve censurée, et au delà de la zone observable.
>> D'après ces données, nous nous retrouverions au confluent stochastique de n-sphères conduisant aux lois physiques que nous observons depuis notre portion ponctuelle d'espace-temps.
>> Fondant les calculs sur base de la matière, en l'absence d'antimatiere : la moitié de l'énergie sombre de la 6-sphère qui englobe l'ensemble de l'univers demeure hors de notre portée (censure de métriques).
>> Le passage de volumes (unitaires) d'énergie à des pourcentages n'est pas arbitraire : aucune des n-sphères ne constitue la base de l'univers, or chaque point de l'espace se situe au coeur de chaque niveau de n-sphère. L'ensemble des n-sphères constitue notre univers.
>> L'injection arbitraire de chaque n-sphère dans la (n+1)-sphère suivante en utilisant celles-ci comme vecteurs unitaires sphériques permet d'obtenir des unités d'espace avec des proportions avoisinant les proporions respectives en matière ordinaire, matière sombre et énergie sombre de la partie observable de l'univers.
>> L'injection arbitraire de chaque n-sphère dans la (n+1)-sphère suivante en utilisant celles-ci comme vecteurs unitaires sphériques permet d'obtenir des unités d'espace avec des proportions avoisinant les proporions respectives en matière ordinaire, matière sombre et énergie sombre de la partie observable de l'univers.
>> La différence entre les valeurs mesurées s'explique par le fait que la frontière des régions observables de l'espace et ces proportions en matière ordinaire et en matière et énergie sombres évoluent de manière dynamique. L'effet thermodynamique de l'expansion justifiant par ailleurs une certaine marge de décalage locale des valeurs géométriques absolues. Il n'échappe pas de notre attention que les valeurs obtenues pour la matière sombre et l'énergie sombre sont inférieures à celles relevées telles qu'imprimées au mur de Planck, et que la valeur de la matière ordinaire imprimée au mur de Planck se révèle supérieure à celle que nous obtenons : cela correspond avec une expansion accélérée de l'espace.
>> Ces deux procédés d'évaluation nous conduisent à soutenir que des analyses plus poussées dans la piste que nous soutenons dans ce papier par le biais d'une simulation informatique permettrait de renforcer ou infirmer notre modèle. Une des conséquences théoriquement vérifiable de notre modèle étant que les valeurs des constantes doivent dériver de façon très fine au fil du temps.
Schéma 14
La gravité quantique -ou inertie quantique- limite la vitesse des photons en les condamnant à s'aligner suivant la courbure spatio-temporelle de leur environnement. Depuis chaque point de l'espace-temps, une dilatation engendrée par un effet thermodynamique attribue une vitesse maximale de progression des photons qui se déplacent au gré de l'expansion de l'espace-temps. En s'approchant de la matière, les photons subissent une transformation de leur trajectoire. Si ils pénètrent dans le volume d'espace occupé par la matière elles y sont piégées.
Graphique.1
Graphique illustrant l'écart de fond entre l'expansion en tenant compte du décalage de métriques ou la marge d'incertitude sur les unités de Planck. Un recoupement des courbes entre x=3 et x=4 semble indiquer le moment où la matière éloignée devient observable depuis chaque point de l'Univers. Le point de départ en ordonnée "y" de l'espace-temps relativiste (courbe bleu) plus haute que celui du sous-plan (courbe rouge) n'échappe pas à l'attention. L'intersection des deux courbes correspond avec une accélération notable qui rappelle l'accélération détectée vers 3,5.1016 secondes [4], ainsi qu'avec l'ère de la recombinaison (après 3,78.1013 sec) et l'ère de la nuccleosynthèse (après
3,8.102 sec).
VIII.2.3. Le temps s'écoule de façon asynchrone, en sorte que present, passé et futur coexistent de façon entrelacée. Ainsi, ce qui est interprété comme matière sombre et énergie sombre ne seraient autre que des interactions de la matière contenue dans les n-sphères supérieures.
VIII.2.4.1. Nous allons par ailleurs montrer comment obtenir une valeur canonique de G différente de celle obtenue avec le décalage ع correspondant à un transfert ondulatoire à longue portée de proche en proche de densité d'interactions (induisant la marge d'incertitude sous Planck), par l'inverse de C (correspondant à l'inertie ponctuelle de la limite de vitesse du photon).
VIII.2.4.2. Restait donc à mesurer l'état moyen de l'équilibre entre ces deux valeurs pour G et confronter avec les bases de données observationnelles plus fines.
"La valeur pour G obtenue à partir de la valeur de ع à la frontière de la métrique de Planck a une valeur fortement supérieure à celle obtenue par la valeur inverse de C à notre temps local contemporain. Ceci est l'indice d'un relâchement de la force gravitationnelle depuis la barrière métrique de Planck. Ainsi l'énigme de l'énergie noire et de la matière noire trouve une explication par une voie différente de la précédente présentée supra. Une solution consolidée d'autre part par une valeur de α également légèrement supérieure à la valeur actuelle."
VIII.5. D'autres parts, les effets de rotation et de révolution émergent de même spontanément par un effet scalaire angulaire du fait de l'équilibre déstabilisé au seuil de C. Chaque système subit une déviation angulaire en fonction de son environnement topologique.
Vision de l'accentuation de la perturbation primordiale de densité. Les points de condensation interfèrent de proche en proche et grossissent suivant deux orientations topologiquement opposées (ton chaud ou ton froid).
Vision de l'accentuation de la perturbation primordiale de densité. Les points de condensation interfèrent de proche en proche et grossissent suivant deux orientations topologiquement opposées (ton chaud ou ton froid).
Illustration de l'effet géométrique généré par une croissance scalaire isotrope asynchrone : on obtient spontanément les effets de rotation et de révolution qui reflètent fidèlement les grandes structures de l'Univers observable ; les systèmes stellaires, les amas d'étoiles (infra à g.), les galaxies spirales (à dr. infra), les galaxies elliptiques plus vieilles.
Schéma 16
La structure en spirale des galaxies reflète la variation continue du tenseur de courbure rémanent de la géométrie fractale héritée des sous-plans quantiques, prenant une forme en spirale comme pour les anticyclones. Les amas globulaires s'organisent dans une région sphérique de l'espace.
IX.1. Les particules restent au contact des sous plans quantiques et obéissent à une mécanique physiquement insondable depuis la surface, tant qu'elles n'entrent pas en interaction avec un élément extérieur.
IX.2. L'état superposé caractérisant la MQ s'explique par la mécanique quantique non discernable opérant à ce niveau.
IX-3. Chaque particule est la résultante d'un haut degré de complexité statistique des interactions d'une infinité de quantum infinitésimaux. Les valeurs relevées des observables sont des moyennes obtenues lors des mesures sur l'ensemble du système interne des objets étudiés selon la configuration des instruments de l'appareil de mesure.
X. Expansion quantique et conservation d'échelles :
X.1. La désordonnance des quanta dans les sous-plans de l'hyperespace génère un effet thermodynamique et une expansion spatio-temporelle de l'univers.
X.2. Les quanta obéissent à des densités d'imbrication variables générant respectivement la flèche du temps, le vide (fractal) quantique, les forces d'interactions, et la matière.
X-2. La topologie fractale en hypertore de l'Univers conduit chaque particule à se démultiplier sous forme de flux quantique et à suivre des lignes d'univers respectifs distincts, en sorte que chaque région de l'espace contient une infinité de copies de l'ensemble de l'Univers.
XI. Relativité du temps et de l'espace :
XI.1. A l'échelle quantique, le temps s'écoulerait à une vitesse indiscernable par rapport à l'écoulement de notre temps local, et il compenserait le changement d'échelle par difféomorphisme. Cette variation spatio-temporelle relativiste déterminerait la flèche du temps par un effet thermodynamique.
XI.2. La désordonnance des chaines de corrélations quantiques determinant les groupes de cohomologies conduirait à une variation de quantité de mouvements. Le degré de liberté determinant à son tour la densité de courbure de l'oscillateur et determinant la métrique locale. Un objet macroscopique accéléré dans une ligne d'univers à une vitesse critique située à la limite de la quantité de mouvements (indexée par la vitesse maximale d'un photon) sera soumis à un alignement aux métriques des sous-plans en sorte de sembler rétrécir et subir une déformation spatio-temporelle relativiste depuis un référentiel extérieur plus lent : ne pouvant cumuler la vitesse ultime permise à d'autres mouvements nécessaires pour grossir parallèlement à son environnement.
XI.3. La flèche du temps serait déterminée par la croissance scalaire globale.
XI.4. Une des conséquences de cette dynamique serait l'explication de l'effet casimir témoignant de l'état d'équilibre de potentiel non parfait : du fait que le taux d'expansion spatial entre deux micro-plaques est inférieur au taux d'expansion spatial subi par les plaques depuis l'extérieur.
XI.5. Une des conséquences étonnante de notre modèle est la résolution aparemment triviale du paradoxe du grand-père. En effet, le mouvement apparaît dans notre modèle comme le résultat d'un flux quantique continu conduisant par congruance à l'organisation de la matière suivant un changement d'échelle dû à un effet thermodynamique. Le fait d'accélérer conduit donc à freiner ponctuellement l'écoulement du temps : le seul mouvement permis étant purement inertiel et toute interaction entre quanta qui les dévient ralentissant l'écoulement du temps. Ainsi, la réduction d'échelle et le ralentissement du temps correspondent à la neutralisation apparente du mouvement. De cette façon, l'objet accéléré subit une anulation relative de l'écoulement du temps et interagit avec le flux de quanta pour générer une feuille d'univers différente d'avant son accélération : nous nous trouvons dans un multivers fractal. Le retours vers le passé devient théoriquement permis du fait que sur le papier, passé-présent-futur sont entremêlés en chaque point de l'univers.
XI.1. A l'échelle quantique, le temps s'écoulerait à une vitesse indiscernable par rapport à l'écoulement de notre temps local, et il compenserait le changement d'échelle par difféomorphisme. Cette variation spatio-temporelle relativiste déterminerait la flèche du temps par un effet thermodynamique.
Du fait de la topologie de l'espace-temps, la simultanéité serait relative. Selon l'orientation et la vitesse de l'observateur l'objet observé serait situé dans son présent, son passé ou son futur. Ci-dessus, une animation du diagramme de Minkowski.
XI.2. La désordonnance des chaines de corrélations quantiques determinant les groupes de cohomologies conduirait à une variation de quantité de mouvements. Le degré de liberté determinant à son tour la densité de courbure de l'oscillateur et determinant la métrique locale. Un objet macroscopique accéléré dans une ligne d'univers à une vitesse critique située à la limite de la quantité de mouvements (indexée par la vitesse maximale d'un photon) sera soumis à un alignement aux métriques des sous-plans en sorte de sembler rétrécir et subir une déformation spatio-temporelle relativiste depuis un référentiel extérieur plus lent : ne pouvant cumuler la vitesse ultime permise à d'autres mouvements nécessaires pour grossir parallèlement à son environnement.
XI.3. La flèche du temps serait déterminée par la croissance scalaire globale.
XI.4. Une des conséquences de cette dynamique serait l'explication de l'effet casimir témoignant de l'état d'équilibre de potentiel non parfait : du fait que le taux d'expansion spatial entre deux micro-plaques est inférieur au taux d'expansion spatial subi par les plaques depuis l'extérieur.
XI.5. Une des conséquences étonnante de notre modèle est la résolution aparemment triviale du paradoxe du grand-père. En effet, le mouvement apparaît dans notre modèle comme le résultat d'un flux quantique continu conduisant par congruance à l'organisation de la matière suivant un changement d'échelle dû à un effet thermodynamique. Le fait d'accélérer conduit donc à freiner ponctuellement l'écoulement du temps : le seul mouvement permis étant purement inertiel et toute interaction entre quanta qui les dévient ralentissant l'écoulement du temps. Ainsi, la réduction d'échelle et le ralentissement du temps correspondent à la neutralisation apparente du mouvement. De cette façon, l'objet accéléré subit une anulation relative de l'écoulement du temps et interagit avec le flux de quanta pour générer une feuille d'univers différente d'avant son accélération : nous nous trouvons dans un multivers fractal. Le retours vers le passé devient théoriquement permis du fait que sur le papier, passé-présent-futur sont entremêlés en chaque point de l'univers.
Lorsqu'un objet macroscopique (discernable aux unités de Planck) est accéléré, il acquiert une densité d'énergie qui le ramène aux sous-plans induisant un effet relativiste de déformation spatio-temporelle vu depuis un référentiel extérieur.
XII. Origine des forces physiques :
XII.1. Dans ce modèle les forces d'interactions sont le résultat d'un niveau d'inertie relative de régions de l'espace par rapport à une expansion globale de l'espace. C'est ainsi le rapport entre l'expansion spatiale et l'inertie de la matière, suivant une densité d'enchevêtrement variable, qui produit l'illusion d'un effet de forces d'interactions magiques opérant mystérieusement à distance.
XII.2. Les lignes d'univers bifurquent sous forme de flux continu suivant la loi des fractales, par l'effet des cascades d'intrications et l'effet thermodynamique de la désordonnance des quanta constituant la trame ultime de l'hyperespace. Ce double effet organise chaque espace empli de quanta par densité de corrélations variant en taux de synchronisation selon la ralativité d'échelles spatio-temporelles.
XII.3. Le sous-espace apparaît en surface quand les observables surgissent du seuil de la limite de métrique discernable depuis la surface de l'Univers.
XII.4. En l'absence de perturbation exogène, les quanta constituant les particules, restent dans un état quantique nu obéissant exclusivement au maintient inertiel des mouvements corrélés hérités par un passé commun où ils sont entré en interaction. Celles-ci agissent de façon coordonnée avec leurs jumelles, s'organisant en systèmes cohérents, et elles varient proportionnellement aux perturbations subies sur leurs trajectoires respectives : les particules et les atomes surgissent au mur de Planck épousant la forme de l'espace qui se déploie sous l'effet du flux dû à la désordonnance quantique. Chaque particule se situe au centre de l'Univers à la frontière du mur de Planck.
XII.5. Les particules qui entrent dans l'environnement d'autres particules engendrent des distorsions spatio-temporelles les faisant interférer, et elles s'organisent sous forme de systèmes cohérents.
XII.6. Les distances relativistes quantiques obéissant à une structure fractale qui induit les interactions fondamentales, expliquent l'accélération de l'expansion de l'univers et la concentration d'apparence anormale de la matière ordinaire, deux observations contredisant les prédictions de la RG du fait d'un décalage scalaire négligé dans la formulation de la théorie par son fondateur du fait de la dérive des métriques.
XII.7. L'absence de d'anti-matière s'explique par une bifurcation fondamentale séparant deux lignes univers soeurs en miroir. Rendant l'anti-monde inobservable, préservant les deux mondes de l'anihilation.
Schéma 17
La variation d'échelle génère un effet d'indétermination de la position exacte des particules aux frontières du mur de Planck. Une fois entrées dans un volume d'espace où leur probabilité de se trouver se recoupent, les particules semblent entrer en interaction : effet conduisant à l'impression de l'action mystérieuse de champs de forces.
La variation d'échelle génère un effet d'indétermination de la position exacte des particules aux frontières du mur de Planck. Une fois entrées dans un volume d'espace où leur probabilité de se trouver se recoupent, les particules semblent entrer en interaction : effet conduisant à l'impression de l'action mystérieuse de champs de forces.
Schéma 18
Les forces physiques fondamentales.
XII.8. Chaque particule a des caractéristiques déterminées en fonction de son environnement local, suivant sa densité, son orientation et sa vitesse instantanées. Toute particule est un état d'imbrication ponctuel de quanta dans l'espace occupé par la particule. Chaque type de particules étant caractérisée par une génération de comportements de corrélations héritées dans un passé commun dans un même environnement quantique.
XIII. Renormalisation :
XIII.1. Lorsque nous nous basons sur les limites de Planck, comme justifié supra, et faisons une projection de ce qui se produirait dans un hyperespace répondant aux propriétés soutenues dans notre modèle, en prenant comme unités de mesure des interactions minimales planckiennes : sur les dimensions zéro, une, deux et trois, nous retombons semble-t-il à une forme spontanée de normalisation permettant de produire un effet de fluctuation quantique.
XIII.2. La surface de l'espace temps observable serait de dimension 2² du fait que C obéit à un équilibre quantique de type 2² : chaque unité d'espace est un tétraèdre.
Schémas 19 & 20
Chaque cercle représente une interaction minimale simplifiée réduite en deux dimensions sur base d'une longueur de Planck. Nous visualisons la façon dont les interactions quantiques conduisent aux propriétés des observables quantiques. Les forces agissant selon des corrélations dues à un contact commun de la genèse des particules, sont soumises à des symétries brisées par l'intrication, élucidant de manière triviale l'énigme des interactions sélectives suivant des charges de couleurs.
XIII.3. L'interaction perturbatrice initiale sur une unité d'espace minimale à trois dimensions, de structure tétraédrique, génère l'interaction gravitationnelle et l'interaction électromagnétique, et un rapport structurant canonique de 1\3, 2\3 ou 3/3. Si je prend pour référentiel un des sommets du tétraèdre, selon que je trace des cercles passant par un ou par plusieurs sommets j'obtiens respectivement des rapports de : 1/3, 2/3 ou 3/3.
Représentation d'un volume d'espace infinitésimal : confinement optimal de 12 quanta autour du point zéro de la base de l'espace. Huit points disposés dans un confinement optimal autour d'un point d'espace à trois dimensions sont occupés par des quanta unidimensionnels. Ce schéma s'imprime au seuil du clivage de métrique de manière fractale. Dans notre feuille d'univers les points 1,2,3,4 & a,b,c,d correspondent initialement à huit volumes de Planck d'un diamètre égal à une longueur de Planck.
XIII.4. Nous trouvons intuitivement des rapports de 1/7 et de 1/5 caractéristiques des tentatives d'unifications mathématiques des interactions fondamentales qui surgissent spontanément. Avec deux tétraèdres imbriqués, nous arrivons à un objet à huit côtés et à un rapport 1/7 ou 1/5 suivant la configuration. Si je prends un référentiel centré sur a, selon que je trace des cercles de manière symétrique passant par un seul point à la fois ou par plusieurs, j'obtiens respectivement un rapport de 1/7 (1,2,3,4,b,c,d) ou de 1/5 (1-2,3,b-c,d,4).
XIII.5. L'espace est soumis à la loi des fractales : le confinement optimal des unités d'espaces conduit à une moyenne des interactions par multiples de 5 ou de 7 unités d'espace.
Représentation d'un volume d'espace infinitésimal : confinement optimal de 12 quanta autour du point zéro de la base de l'espace. Huit points disposés dans un confinement optimal autour d'un point d'espace à trois dimensions sont occupés par des quanta unidimensionnels. Ce schéma s'imprime au seuil du clivage de métrique de manière fractale. Dans notre feuille d'univers les points 1,2,3,4 & a,b,c,d correspondent initialement à huit volumes de Planck d'un diamètre égal à une longueur de Planck.
XIII.4. Nous trouvons intuitivement des rapports de 1/7 et de 1/5 caractéristiques des tentatives d'unifications mathématiques des interactions fondamentales qui surgissent spontanément. Avec deux tétraèdres imbriqués, nous arrivons à un objet à huit côtés et à un rapport 1/7 ou 1/5 suivant la configuration. Si je prends un référentiel centré sur a, selon que je trace des cercles de manière symétrique passant par un seul point à la fois ou par plusieurs, j'obtiens respectivement un rapport de 1/7 (1,2,3,4,b,c,d) ou de 1/5 (1-2,3,b-c,d,4).
XIII.5. L'espace est soumis à la loi des fractales : le confinement optimal des unités d'espaces conduit à une moyenne des interactions par multiples de 5 ou de 7 unités d'espace.
Conformation de la structure des atomes (à g.) avec notre modèle d'espace-temps quantique (rappel Schéma 5 à dr.). On retrouve la structure octoédrique (rouge) ou la structure en forme de double-tétine (bleu et vert).
Interaction | Théorie courante | Médiateurs | Masse (GeV/c2) | Puissance relative approximative | Rayon d'action (m) | Dépendance de distance |
---|---|---|---|---|---|---|
Forte | Chromodynamique quantique (QCD) | 8 gluons | 0 | 1 | 2,5·10−15 | |
Électromagnétique | Électrodynamique quantique (QED) | photon | 0 | 10-2 | ∞ | |
Faible | Théorie électrofaible | W+, W-, Z0 | 80, 80, 91 | 10-5 | 10−18 |
à
|
Gravitation | Relativité générale | graviton (postulé) | 0 | 10-40 | ∞ |
XIV. Evaluation de l'effet du cumul du décalage (perturbation primordiale) entre le rapport des constantes de Planck et évaluation de la cohérence et la complétude du paradigme de notre modèle :
XIII.1. Rapport métrique étrange entre constante de Planck et la Célérité de la lumière :
1,616 . 10-35 m/5,391 . 10-44 s = 299 758 857 (354 850) mq/sq
.299.758.857.(354.850) m/s ~ .299 792 458 m/s (1)
XIV.2. Décalage ع espace-temps quantique et espace-temps relativiste :
0,299.792.458
- 0,299.758.857
----------------------
0,000.033.601 (2)
* Le décalage de ع imprimé à travers l'espace-temps quantique de Planck, fixera la constante de structure fine ; qui n'est rien d'autre que le point de contact entre RG et MQ, ou entre l'espace-temps relativiste et le sous-espace quantique qui s'est retiré sur le mur de Planck au point de création de notre espace-temps. Il est assimilable à ε0.ħ, ou à la marge d'incertitude (métrique) de Heisenberg à laquelle nous parvenons à attribuer une valeur dans le cadre de notre modèle présenté dans cet article.
* Ce paramètre ع sera le point de perturbation et de brisure de symétrie qui générera l'univers suivant, en commençant à échelle réduite et variant selon les niveaux de puissances, jusqu'à aboutir à G par son cumul logarithmique qui est en fait l'écho de l'ondulation de la surface primitive de l'Univers naissant. Les quanta d'énergie traversant comme une couture les deux espace superposés afin de les maintenir liés.
X.IV.3. Cumul de ع lors de l'interaction entre quatre volumes de Planck au mur de Planck :
33601 . 2 = 67202 (3)
XIV.4. Rapport entre ع et la constante de structure fine, α :
α = 7,297.10⁻³
4.1.1. Evaluation de l'ordre de grandeur proportionnel de α à partir de ع à partir de l'interaction moyenne de ع entre huit points d'espace (! volumes de Planck) :
A gauche, représentation des intersections des volumes d'espace en expansion en chaque point d'espace à la conjonction de huit points de la base de l'espace. A droite, visualisation de l'interaction croisée s'opérant en chaque volume d'espace liant deux points d'espace deux par deux.
Quels que soient les points de l'espace minimal infinitésimal considérés, la source de l'énergie qui les éloigne les un des autres doit être inversement proportionnelle au carré de la distance qui les sépare du centre d'un cube infinitésimal. La ligne bleue de mon schéma supra représente l'origine de la constante α (son inverse). Sa valeur se mesure entre deux points pris deux à deux (√4 ). Le cercle noir figure l'ensemble des coordonnées permises de ces quatre points.
√[(2π.0,000033601)] ÷ √4 = 0,014530014091÷ 2 = 7,265 .10⁻³
7.297.10⁻³ > 7,265.10⁻³
>> La valeur obtenue est étonnamment proche de la valeur de α pour une charge minimale, tel qe mesurée depuis notre environnement actuel. Elle semble consolider l'étude de John Webb et al. au sujet d'une augmentation de l'ordre de 0,57 ± 0,10 . 10-5 depuis 10-12 milliards d'années [4] .
>> Sans constituer une preuve d'un lien tranché entre ce décalage et les inégalités de Heisenberg, la valeur ainsi obtenue attire notre attention sur un possible lien de cause à effets.
>> Le décalage entre C et sont équivalant aux échelles de Planck, semble pouvoir être lié à la constante de structures fines.
>> Le décalage peut remonter à une brisure de symétrie plus primordiale qu'à l'échelle des limites de Planck spatio-temporelle locale ayant dérive également depuis le dernier point de clivage de métriques.
La fonction inverse d'un pixel d'espace d'une 6-sphère donne une valeur proche de α. La constante de structure fine correspond au point zero de l'espace.
4-sphère >> 1/2 π² * 1 = 4,9348
↪ 6-sphère >> (1/6 * π³ * 25,97) = 134,20550089
=> 1/ = 134,20550089 = 0,007451259 = 7,45 .10⁻³
7,4512.10⁻³ > 7.297.10⁻³ > 7,265.10⁻³
(7,4512.10⁻³ + 7,265.10⁻³)/2 = 7,3581.10⁻³
(7,4512.10⁻³ + 7,265.10⁻³)/2 = 7,3581.10⁻³
4.1.3. Arrondissement ad hoc à partir de la fonction inverse de la moyenne des valeurs de 68,21[*] et de 7,265.10⁻³:
1/(68,21 . 2) = 0,007330303474
(0,00733 + 0,007265) : 2 = 0,00729 = 7,2976.10⁻³ ~ 7,297.10⁻³
7,2976.10⁻³ > 7.2974.10⁻³
>> La fonction inverse d'un volume canonique d'une n-sphère de niveau 6 donne une valeur avoisinant la valeur de α.
>> L'effet thermodynamique inhérent à notre modèle permet d'envisager une dérive stochastique ponctuelle en rapport aux valeurs mathématiques absolues.
>> Ce décalage est compatible avec notre modèle : les forces d'interactions sont un effet orchestré au gré de la densité d'entrelacement synchronisant selon les échelles de grandeur relativistes, subissant des variations de métriques depuis les sous-plans de l'hyperespace.
>> Cette valeur absolue peut être un seuil critique de la surface de l'univers aux environs de la 6-sphère.
XIV.5. Rapport entre G et ع :
G = 6,693 (72)⁻¹¹ ±0.027 × 10⁻¹¹ [5]
5.1. Ordre de grandeur de C² est en kilometres carrés (e=m.C²).
5.2. Kilomètres carrés en mètres carrés : => 10-6
Si a=b alors c²= 2a²
5.3. Valeur renormée de 0,000067202
= > 0,000067202 . 10-6 = 0,000 000 000 067 202 = 6,7202. 10⁻¹¹ (4)
6,7202 . 10⁻¹¹ ~ 6,693 (72) . 10⁻¹¹ +/- 0,027 . 10⁻¹¹ = G
6,693 . 10⁻¹¹ + 0,027 . 10⁻¹¹ = 6,7200 . 10⁻¹¹
6,7202 . 10⁻¹¹ ~ 6,7200 . 10⁻¹¹
XIV.6. Constante de Gravité quantique, fonction inverse et évaluation de la brisure de symétrie :
XIV.6.1. Rapport justifiant un effet relativiste quantique, et Gq comme fonction inverse de C.
>> En effet, la gravitation ne doit pas avoir d'emprise en-dessous de l'énergie minimale d'un photon unique. Pour le sous plan quantique, il n'y aurait pas d'effet de gravité, mais une expansion en deux directions opposées éloignant deux quanta en deux directions opposées.
>> En effet, la gravitation ne doit pas avoir d'emprise en-dessous de l'énergie minimale d'un photon unique. Pour le sous plan quantique, il n'y aurait pas d'effet de gravité, mais une expansion en deux directions opposées éloignant deux quanta en deux directions opposées.
XIV.6.2. Valeur de 1/C : 1/299 798 458 = 3,335741.10⁻⁹ (gravité quantique)
G = 6,693 (72)⁻¹¹ ±0.027 × 10⁻¹¹ [6]
G = 6,67384⁻¹¹ [7]
XIV.6.3. Effet de l'expansion thermodynamique de l'espace sur la propagation de la lumière (dilatation de l'espace en deux directions opposées en chaque point parcouru par la lumière) :
3,335741.10⁻⁹ . 2 = 6,6710942.10⁻⁹
Chaque photon en mouvement subit un effet de l'expansion spatio-temporelle équivalant au rayon du volume d'espace qui croît à rebours. Tandis qu'il pénètre jusqu'à une distance équivalente au rayon du pixel d'espace en expansion. Une infime marge de chevauchement s'imprime sur sa vitesse instantanée.
XIV.6.4. Cette valeur se rapproche proportionnellement de la valeur de G = 6,67384⁻¹¹ [6] avec une différence scalaire de l'ordre de 10⁻², qui correspond à la distorsion temporelle (T⁻²) :
6,6710942.10⁻¹¹ ~ 6,67384.10⁻¹¹ [6] = G
6,693 (72).10⁻¹¹ - 0.027.10⁻¹¹ [5] = 6,66672.10⁻¹¹
~ 6,67.10⁻¹¹
6,693 (72).10⁻¹¹ - 0.027.10⁻¹¹ [5] = 6,66672.10⁻¹¹
~ 6,67.10⁻¹¹
3,335741.10⁻⁹ >> 6,691 306.10⁻¹¹
> 49.8492004185/1 <
XIV.6.5. Rappel du rapport du décalage ع avec le sous-plan de Planck (0,00033601/1) et comparaison avec la variation d'échelle :
0,000033601 > 0,33357.10⁻⁸
~ 0.000005150484/1
~ 0.000005150484/1
XIV.6.6. Le sous-espace quantique s'étendrait au carré de la vitesse de la lumière, tandis que l'espace-temps surgirait à la surface de l'Univers imposant C comme vitesse maximale permise. Cela justifierait la disparition des effets du temps caractérisant la MQ. La gravitation étant un effet topologique, géométrique fixé par la vitesse maximale physiquement permise quand l'espace-temps n'est plus en phase avec le sous-plan quantique.
XV. L'apparition dans notre modèle d'une région inconnue en interaction permanente avec le sous plan quantique liant RG et MQ :
XV.1. Soulignons comme notre modèle conduit à retrouver une origine pertinente d'une source d'énergie négligée par les théories respectives de la RG et la MQ au contact physique de ces deux théories et leurs domaines de compétences. Cela mérite d'approfondir les recherches dans la piste de notre modèle.
XV.2. Nous avons montré comment la confrontation rigoureuse entre espace-temps relativiste et espace-temps quantique permet de trouver un paramètre ع absent à l'échelle de Planck sur l'image rémanente du mur de Planck qui est présente en chaque point de l'espace-temps, lequel génère la perturbation de l'espace naissant à l'échelle fine sous la surface de l'Univers et génère de proche en proche la gravité qui fait onduler la surface comme des vagues, et la relie au mur de Planck fermement.
XVI. Conjecture de courbure L² :
Récemment, Sergiu Klainerman a publié une démonstration d'une conjecture fondamentale permettant de contourner mathématiquement le paradoxe de l'infini et d'une singularité rendant la RG insoluble à l'origine du big bang[8].
« Le tenseur de courbure est un objet mathématique qui mesure la courbure de l’espace-temps. Il peut, par exemple, décrire comment deux géodésiques initialement parallèles divergent. Le tenseur est une fonction des coordonnées d’espace-temps. La condition de Sergiu Klainerman consiste à « multiplier » le tenseur par lui-même et à l’intégrer sur l’espace-temps (plus précisément à intégrer le carré de la valeur absolue de la fonction). Si le résultat ne devient pas infini, la fonction est dite de carré intégrable. Cette classe de fonctions, notée L², donne son nom à la conjecture de Klainerman : la conjecture de courbure L². Après plus de dix ans de travaux, Sergiu Klainerman, Igor Rodnianski et Jérémie Szeftel ont démontré cette conjecture. La démonstration vient d’être publiée dans une prestigieuse revue de mathématiques, Inventiones Mathematicae [8]. »
Selon notre modèle de Relativité Quantique à Variations d'Echelles Spatio-Temporelle, ce tenseur de courbure est multiplié par lui-même en sériés fractales (L²). Ainsi, notre modèle d'unification de la physique théorique demeure mathématiquement abouti, et permet potentiellement l'écriture complète du processus de génération d'une métrique, à mise en place gaussienne en cascade des constantes universelles, les modes d'interactions structurantes organisant l'espace-temps et obtenir les structures de notre Univers. Mais ceci ne pourrait se confirmer que par une simulation informatique, du fait que le processus est hautement non-linéaire, mais obéit à la loi normale.
>> Dans notre modèle, la longueur initiale du tenseur devient la longueur de notre quanta unidimensionnel infinitésimal.
>> Dans notre modèle, la longueur initiale du tenseur devient la longueur de notre quanta unidimensionnel infinitésimal.
XVII. Moyenne décalage normé et évaluation des effets de la brisure de symétrie :
Les valeurs obtenues ont pu se stabiliser par un effet d'intrication en sous-plan quantique, dans les limites de α et de G que nous avons retrouvé à partir de la valeur canonique de ع.
Nous avons montré comment on obtient une valeur de G par le cumul logarithmique de la marge du décalage ع, se diffusant en évitant les volumes des sphères en expansion d'un diamètre égal au double de 0,000033621 tout au long de son parcours. Et comment obtenir une valeur canonique sans ce décalage par le carré de la fonction inverse de la valeur de C élevé à la puissance -2 du fait de la distorsion spatio-temporelle.
La différence entre la première valeur de G après la décélération relativiste et la valeur canonique de G à la limite de la métrique accessible à la RG, sans cet effet de variation de métrique expliqué mathématiquement l'effet d'accélération de l'expansion quantique de l'Univers.
Ci-dessus, le graphique de la variation de la fluctuation énergétique mesurée sur le fond diffus cosmologique par le satellite Planck. La courbe oscille entre l'entrainement du sous-plan quantique indétectable censurée sous les limites de Planck et les premières interactions perturbatrices relativistes initiant une perturbation primordiale de densité et une brisure de symétrie.
Lorsque je prend pour centre un des côtés de mon volume d'espace compact optimal au point zero, selon que je fais passer un cercle depuis a vers les autres sommets de mon tétraèdre double symétriquement par un seul point à la fois ou par plusieurs points à la fois je peux en tracer respectivement 7 ou 5. J'obtiens ainsi 5 sphères centrés sur a : a-4;a-3;a-1-2;a-b-c;a-d. Ces six flux d'energie correspondent respectivement aux pics 1,2,3,4 & 5 à la frontière du mur de Planck où la désordonnance des quanta commence.
* * *
Il est à souligner que notre modèle Relativité Quantique Fractale se fonde sur le paradigme que lors du big bang, le sous-plan quantique s'est étendu obéissant à un tenseur de courbure particulier d'une variété du genre Ricci/Klainerman, générant une perturbation primordiale de densité de saturation critique l'espace-temps relativiste. Cela conduisant à un grossissement d'échelle légèrement accéléré asynchrone par rapport au point de clivage de métriques la rapport au sous-plan quantique. Nos calculs exposés supra, suggerent qu'un paramètre comme la permissivité relative du vide quantique ou la distorsion de l'écoulement du temps à déterminer plus rigoureusement reste peut-être à établir pour éventuellement encore ajuster et affiner de façon exacte nos valeurs de α et de G de façon plus précise.
Graphique2
Projection de l'effet du décalage de 0,333601 dans le processus d'expansion. Nous notons qu'une partie de la fonction se situe dans une zone physiquement inaccessible censurée par la variation du rapport d'échelles relativement à la célérité de la lumière.
Graphique3
Projection du carré de la célérité de la lumière réduit du carré du décalage avec l'espace-temps quantique : l'Univers semble se projeter à l'infiniment petit avant le mur de Planck. La métrique planckienne n'a pas encore atteint son seuil critique.
XVIII. Conclusions et interprétations :
Il est à souligner que nous retrouvons spontanément des valeurs proches de α et de G quand nous remontons au mur de Planck portant la marque d'une brisure de symétrie. En effet, du fait du grossissement d'échelle au mur de Planck, l'interaction des tout premiers volumes de Planck immédiatement au mur de Planck a dû imprimer une constante inviolable, en sorte qu'aucune particule de matière ne peut se déplacer à une vitesse supérieure à la célérité de la lumière. Fixant ainsi des valeurs canoniques de α et de G, à peut-être devoir réévaluer avec une marge d'erreur à attribuer à un effet thermodynamique ?
Il est à noter que la valeur moyenne de α donne un décalage atténué avec une différence de l'ordre suivant 7,265⁻³ < 7,297⁻³ mais une valeur accentuée à la limite supérieure avec 7,789982⁻³ > 7,297⁻³, et une valeur superieure de G avec 6,7202 . 10⁻¹¹ > 6,693 (72)⁻¹¹. Si mon modèle est exact, alors il devrait être possible de confirmer ou d'infirmer les effets de ce décalage ع par une étude fine du fond de radiation cosmique : l'Univers devrait subir une perturbation en mosaïque obéissant aux critères perturbatifs soumis ici, dans cet article.
Il est à souligner que nous retrouvons spontanément des valeurs proches de α et de G quand nous remontons au mur de Planck portant la marque d'une brisure de symétrie. En effet, du fait du grossissement d'échelle au mur de Planck, l'interaction des tout premiers volumes de Planck immédiatement au mur de Planck a dû imprimer une constante inviolable, en sorte qu'aucune particule de matière ne peut se déplacer à une vitesse supérieure à la célérité de la lumière. Fixant ainsi des valeurs canoniques de α et de G, à peut-être devoir réévaluer avec une marge d'erreur à attribuer à un effet thermodynamique ?
Il est à noter que la valeur moyenne de α donne un décalage atténué avec une différence de l'ordre suivant 7,265⁻³ < 7,297⁻³ mais une valeur accentuée à la limite supérieure avec 7,789982⁻³ > 7,297⁻³, et une valeur superieure de G avec 6,7202 . 10⁻¹¹ > 6,693 (72)⁻¹¹. Si mon modèle est exact, alors il devrait être possible de confirmer ou d'infirmer les effets de ce décalage ع par une étude fine du fond de radiation cosmique : l'Univers devrait subir une perturbation en mosaïque obéissant aux critères perturbatifs soumis ici, dans cet article.
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P.S. : Nous avons établi ici un rapport entre un paradoxe fondamental de la physique théorique et un essai d'exégèse littéral du Coran, mais les calculs établis sont réfutables et répondent à des critères de vérifiabilité. Nous prions les lecteurs de ne pas mêler la critique scientifique de notre modèle et notre démarche conceptuelle fondée sur une lecture d'un livre sacré à caractère religieux.
[1] Traduction selon Albert Kazimirski de Biberstein : 1808-1887.
[2] Traduction selon Muhammad Hamidullah : 1959.
[3] Spin Waves in a One-Dimensional Spinor Bose Gas J. N. Fuchs, D. M. Gangardt, T. Keilmann, and G. V. Shlyapnikov. Phys. Rev. Lett. 95, 150402 (2005)
[4] Saul Perlmutter et al., Measurements of Omega and Lambda from 42 High-Redshift Supernovae, Astrophysical Journal, 517, 565-586 (1999), astro-ph/981213.
[5] John K. Webb et al., « Search for Time Variation of the Fine Structure Constant », Physical Review Letters, vol. 82, no 5, , p. 884-887 (DOI 10.1103/PhysRevLett.82.884, lire en ligne [archive])
[6] J.B. Fixler, G. T. Foster, J. M. McGuirk et M. A. Kasevich, « Atom Interferometer Measurement of the Newtonian Constant of Gravity », Science, vol. 315, no 5808, 7 janvier 2007, p. 74-77 (DOI 10.1126/science.1135459, Bibcode 2007Sci...315...74F)
[note2] Une des ambiguïté du modèle est que la célérité de la lumière qui est aux fondements de la dynamique qui la régit, se retrouve être une variable qui subit une variation, qui conduit à un écart entre le sous-plan quantique et la surface de l'Univers. Cela doit justifier les effets relativistes, et les étrangetés quantiques. Un équilibre entre la densité d'énergie emplissant l'espace-temps quantique et l'énergie se trouvant dans les volumes de Planck maintenant l'Univers dans le temps. Une des autres conséquences de cette théorie est qu'elle permet d'expliquer le mécanisme des champs de force de façon triviale, rendant les étrangetés de la RG et de la MQ intuitives et intelligibles. De même qu'elle prédit une accélération de la vitesse d'expansion observable de l'Univers et le confinement des galaxies sans recours à de la matière excédentaire invisible.
[note3] Il est par ailleurs à souligner que nous travaillons par ordre de grandeur du fait du paradigme fondateur de notre théorie, qui est fondée sur une échelle de grandeur à croissance scalaire. Mais nous trouvons avec notre modèle, la source de l'émergence de la métrique-même, qui en devient une conséquence évidente. Or, nous travaillerons sur base métrique lors de la renormalisation. Ceci n'est pas une méthode ad hoc, mais se fonde sur le principe que la physique se fonde sur les mathématiques de haute précision, et que la physique théorique, sur le fond de laquelle nous travaillons, est métrique et décimale.
[note4] Si l'espace subissait un grossissement global à l'échelle d'une année lumière ou un multiple de celle-ci, les effets de distorsion relativistes apparents s'expliqueraient de façon évidente et intuitive. En effet, la limite de toute vitesse ainsi que la stabilité de la vitesse de la lumière s'expliqueraient comme une forme d'inertie maximale : le grossissement s'opérant de façon isotrope. Les distances et le temps s'annuleraient donc ponctuellement si nous atteignions cette vitesse de grossissement dans une région de l'espace. Ainsi, les objets ne pouvant plus grossir sembleraient rétrécir jusqu'à descendre en dessous des limites de Planck, le temps ne pouvant plus s'écouler semblerait s'arrêter. Les photons n'ayant pas de masse seraient donc transportés au rythme de l'expansion de l'espace sans aucune forme de résistance.
[note5] Nous parlons bien d'un espace euclidien par simplicité, or, pour que la théorie devienne parfaitement intuitive, il semblerait que tout comme les forces en interaction qui sont immatérielles, l'espace plat dans lequel se déroulerait ce grossissement d'échelle isotrope asynchrone suivant des variations d'échelles spatio-temporelles serait plutôt un matroïde immatériel et abstrait généré dans ce processus, sans qu'il s'agisse d'un espace euclidien préexistant et infini où surgirait mystérieusement une source d'énergie.. Conceptuellement, l'effet tunnel qui demeure stochastiquement acausal dans les fondements de la MQ, mais dont on observe ponctuellement des effets, serait à l'origine de l'émergence initiale de l'Univers, mais étant compensé par la densité d'énergie globale de l'espace-temps saturé en énergie. Il est permis de penser qu'un mouvement unique dans le vide absolu puisse générer une source d'énergie inépuisable en l'absence de tout frottement par une accélération inertielle relativiste ?
[note6] Le décalage ponctuel entre la vitesse d'expansion à travers l'espace-temps quantique doit se cumuler proportionnellement à la distance (à la surface mesurable de l'univers), générant des brisures de symétries standards relatives à l'échelle des interactions. Une telle propriété de type élastique pourrait avoir des conséquences fondamentales, y compris en biologie quantique jouant un rôle dans l'émergence de la conscience favorisant la synchronisation des neurones à travers le sous-espace quantique, ou encore dans la fermeté de l'ADN du fait de sa structure en double spirale, le rendement énergétique de la photosynthèse... !
KF, Hemmelig Frelser, le 29 Février 2016.
[3] Spin Waves in a One-Dimensional Spinor Bose Gas J. N. Fuchs, D. M. Gangardt, T. Keilmann, and G. V. Shlyapnikov. Phys. Rev. Lett. 95, 150402 (2005)
[4] Saul Perlmutter et al., Measurements of Omega and Lambda from 42 High-Redshift Supernovae, Astrophysical Journal, 517, 565-586 (1999), astro-ph/981213.
[5] John K. Webb et al., « Search for Time Variation of the Fine Structure Constant », Physical Review Letters, vol. 82, no 5, , p. 884-887 (DOI 10.1103/PhysRevLett.82.884, lire en ligne [archive])
[6] J.B. Fixler, G. T. Foster, J. M. McGuirk et M. A. Kasevich, « Atom Interferometer Measurement of the Newtonian Constant of Gravity », Science, vol. 315, no 5808, 7 janvier 2007, p. 74-77 (DOI 10.1126/science.1135459, Bibcode 2007Sci...315...74F)
[7] « CODATA 2010 Recommended Values of the Fundamental Physical Constants », Peter J. Mohr, Barry N. Taylor, et David B. Newell - National Institute of Standards and Technology (NIST), Gaithersburg, Maryland, 20899-8420, USA, 2012 (consulté le10 octobre 2012)
[8] Igor Rodnianski, de l’université Princeton, et Jérémie Szeftel, du laboratoire Jacques-Louis Lions (CNRS et université Pierre-et-Marie-Curie), Sergiu Klainerman a récemment, démontré cette conjecture.
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[8] Igor Rodnianski, de l’université Princeton, et Jérémie Szeftel, du laboratoire Jacques-Louis Lions (CNRS et université Pierre-et-Marie-Curie), Sergiu Klainerman a récemment, démontré cette conjecture.
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[note1] Mes recherches se sont inspirées de l'exégèse du Coran. Selon le Coran, l'Univers est le fruit de la puissance divine immense et il s'étend dans l'immensité sans mention de contraction à contre sens, l'univers coranique est issu d'un volume initial condensé ayant subi une dislocation. Tout doit disparaitre. Si nous nous bornons strictement au sens littéral de ce verset, alors la création de l'univers consiste en l'expansion organisée d'une forme d'énergie potentiellement infinie.
[note2] Une des ambiguïté du modèle est que la célérité de la lumière qui est aux fondements de la dynamique qui la régit, se retrouve être une variable qui subit une variation, qui conduit à un écart entre le sous-plan quantique et la surface de l'Univers. Cela doit justifier les effets relativistes, et les étrangetés quantiques. Un équilibre entre la densité d'énergie emplissant l'espace-temps quantique et l'énergie se trouvant dans les volumes de Planck maintenant l'Univers dans le temps. Une des autres conséquences de cette théorie est qu'elle permet d'expliquer le mécanisme des champs de force de façon triviale, rendant les étrangetés de la RG et de la MQ intuitives et intelligibles. De même qu'elle prédit une accélération de la vitesse d'expansion observable de l'Univers et le confinement des galaxies sans recours à de la matière excédentaire invisible.
[note3] Il est par ailleurs à souligner que nous travaillons par ordre de grandeur du fait du paradigme fondateur de notre théorie, qui est fondée sur une échelle de grandeur à croissance scalaire. Mais nous trouvons avec notre modèle, la source de l'émergence de la métrique-même, qui en devient une conséquence évidente. Or, nous travaillerons sur base métrique lors de la renormalisation. Ceci n'est pas une méthode ad hoc, mais se fonde sur le principe que la physique se fonde sur les mathématiques de haute précision, et que la physique théorique, sur le fond de laquelle nous travaillons, est métrique et décimale.
[note4] Si l'espace subissait un grossissement global à l'échelle d'une année lumière ou un multiple de celle-ci, les effets de distorsion relativistes apparents s'expliqueraient de façon évidente et intuitive. En effet, la limite de toute vitesse ainsi que la stabilité de la vitesse de la lumière s'expliqueraient comme une forme d'inertie maximale : le grossissement s'opérant de façon isotrope. Les distances et le temps s'annuleraient donc ponctuellement si nous atteignions cette vitesse de grossissement dans une région de l'espace. Ainsi, les objets ne pouvant plus grossir sembleraient rétrécir jusqu'à descendre en dessous des limites de Planck, le temps ne pouvant plus s'écouler semblerait s'arrêter. Les photons n'ayant pas de masse seraient donc transportés au rythme de l'expansion de l'espace sans aucune forme de résistance.
[note5] Nous parlons bien d'un espace euclidien par simplicité, or, pour que la théorie devienne parfaitement intuitive, il semblerait que tout comme les forces en interaction qui sont immatérielles, l'espace plat dans lequel se déroulerait ce grossissement d'échelle isotrope asynchrone suivant des variations d'échelles spatio-temporelles serait plutôt un matroïde immatériel et abstrait généré dans ce processus, sans qu'il s'agisse d'un espace euclidien préexistant et infini où surgirait mystérieusement une source d'énergie.. Conceptuellement, l'effet tunnel qui demeure stochastiquement acausal dans les fondements de la MQ, mais dont on observe ponctuellement des effets, serait à l'origine de l'émergence initiale de l'Univers, mais étant compensé par la densité d'énergie globale de l'espace-temps saturé en énergie. Il est permis de penser qu'un mouvement unique dans le vide absolu puisse générer une source d'énergie inépuisable en l'absence de tout frottement par une accélération inertielle relativiste ?
[note6] Le décalage ponctuel entre la vitesse d'expansion à travers l'espace-temps quantique doit se cumuler proportionnellement à la distance (à la surface mesurable de l'univers), générant des brisures de symétries standards relatives à l'échelle des interactions. Une telle propriété de type élastique pourrait avoir des conséquences fondamentales, y compris en biologie quantique jouant un rôle dans l'émergence de la conscience favorisant la synchronisation des neurones à travers le sous-espace quantique, ou encore dans la fermeté de l'ADN du fait de sa structure en double spirale, le rendement énergétique de la photosynthèse... !
KF, Hemmelig Frelser, le 29 Février 2016.
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